

Un parcours poétique de la terre du Mali aux racines du Bayou, jalonné par la douce mélancolie du kamale n'goni d'Abou Diarra et les vibrations urbaines de Nicolas Repac. Marqué par la culture ancestrale des chasseurs mandigues, Abou Diarra est un joueur de ngoni (harpe guitare malienne) au parcours atypique et étrange. Formé par un maître virtuose et aveugle, connu sous le pseudonyme du « Vieux Kanté sans commentaire», il a sillonné, pendant plusieurs mois, les routes d'Abidjan-Bamako-Conakry à pied, accompagné de son seul instrument. Traversant les villages les plus reculés d'Afrique de l'Ouest comme les mégalopoles modernes, il y a puisé tour à tour des sons cachés traditionnels et des musiques urbaines contemporaines Sa musique parle du voyage, de l'exil, du mouvement Fasciné par le blues, le jazz, le reggae Il explore et cherche des harmoniques hors des gammes traditionnelles en ajoutant des cordes à son instrument , en expérimentant des techniques inspirés des grands du jazz et du blues, en utilisant son ngoni comme une guitare, une basse, une harpe ou une percussion dans des balades silencieuses et nostalgiques ou des rythmes endiablés de bals poussières.
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